Francesca Escudero
. Messages : 159 . Date d'inscription : 20/12/2010 . Age : 30 . Pseudo : mély
| Sujet: Francesca Escudero ▬ Qu'est la volupté elle même, sinon un moment d'attention passionnée au corps ? Jeu 23 Déc - 16:43 | |
| ■ carte d'identité; ■ nom; Escudero■ prénom; Francesca■ sexe; ♀■ date de naissance; 29 mai 1982■ lieu de naissance; Don Benio - Espagne | ■ traits de caractère;
▬ Energique ▬ Passionnée ▬ Volontaire ▬ Sportive ▬ Extravertie
■ casier judiciaire;
| MA BELLE HISTOIRE, OU JUSTE MON CAUCHEMAR; Je suis issue d'une famille nombreuse. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose? Je dirai plutôt mauvaise. Je ne sais pas si cela reflète la réalité ou si je pense cela à cause de ma propre expérience mais j'ai l'impression que plus un couple a d'enfants, plus l'amour qu'il leur donne est divisé. C'est comme si chaque individu était capable de donner une certaine quantité d'amour qu'il divise par le nombre de personnes à aimer. Je crois qu'il s'agit d'un constat bien triste de notre monde. Peut-être changerai-je d'avis un jour. Toujours est-il qu'aujourd'hui je mène ma vie en partant de ce principe. Evidemment, je ne suis absolument pas croyante. Inutile de me raconter qu'un dieu nous procure un amour infini parce que je crois que j'ai été oubliée... Mon frère jumeau, Alonzo, m'a toujours incité à pardonner et à comprendre mes parents. Mais à un âge où l'on a besoin de se sentir aimé, comment accepter cela de la part de ses parents? Moi j'ai décidé de ne pas accepter, ni même de pardonner. L'amour que me portait Alonzo me faisait énormément de bien mais j'avais besoin de plus, de bien plus. Cet amour là j'ai cru le trouver auprès d'un homme. Ma première véritable histoire d'amour je l'ai vécu à 16 ans. Vous l'imaginiez peut-être plus tôt, n'est-ce pas? Certes, j'étais en manque d'amour, mais certainement pas au point de manquer de respect à moi-même en me jetant dans les bras du premier venu! Et puis, cette histoire là, c'était la plus sérieuse comparée aux amourettes que j'avais pu connaître auparavant. A cette époque, je n'avais que très peu confiance en moi mais j'étais suffisamment mûre pour ne pas me montrer ridicule. Ce garçon-là était une perle, un de ceux qui ne court pas les rues. Il était à la fois très beau, drôle et intelligent. Bref, que demandez de plus? Du respect, peut-être. Car oui, même si au début j'avais cru que ma vie s'était transformée en un conte de fée, il n'en était rien. Bien sûr les premiers mois furent fabuleux, il se montrait attentionné et aimant. Jusqu'au jour où il m'a mise dans son lit. A partir de là son comportement changea. A ses yeux je n'étais rien d'autre qu'une traînée. Mais puisque maintenant je « savais baiser », il n'allait certainement pas me laisser tomber. De mon côté, j'étais face à un dilemme. Pour ma mère, une fille qui se donne un jour, se donne pour toujours. Et elle savait que j'avais franchi le pas. Soit je le quittais et mes parents me mettaient à la porte, soit je restais avec lui et je me taisais. La première option me plaisait bien mais à presque 17 ans, où aurai-je pu aller? Nulle part malheureusement. Je n'avais donc qu'à être le joujou de ce garçon. J'ai beaucoup hésité avant de le dire à Alonzo, j'avais trop peur qu'il ne le répète à mes parents. Mais un jour, le poids fut trop lourd à porter sur mes épaules et je me confiai à mon jumeau. Comme je l'avais espéré, il ne me jugea pas ni ne me fit aucune remontrance. En revanche, il n'avait aucune solution sinon que j'attende mes 18 ans pour quitter tout cela. Je n'eus pas le choix. Ainsi, pendant un an et demi je fis semblant d'être heureuse avec ce garçon. Les moments passés avec mon pseudo amoureux étaient difficiles. Jamais il ne m'a fait de mal physiquement mais il ne cessait de me rabaisser. Cependant, par moments j'avais l'impression de retrouver celui que j'avais connu au début. Il se montrait gentil et tendre. Mais ce n'était que passager. J'encaissais, je n'avais pas d'autres choix. Mais dans un coin de ma tête, je faisais déjà mes plans. Cela me permettait de tenir le coup et j'avais l'impression que le temps passait plus vite ainsi.
Parallèlement à tout cela, j'avais une passion: la danse. Depuis toute petite je la pratiquais et en plus de ce qu'il pouvait se passer dans ma tête, c'était une échappatoire. Je me donnais à fond et faisais de bons progrès. Mon caractère extravertie m'aidait beaucoup à me mettre dans la peau des personnages que j'incarnais en dansant. Plus je grandissais, plus je me rendais compte que je ne pouvais vivre sans la danse. Lorsque je découvris le vrai visage de celui censé m'aimer, je compris que plus qu'une passion, je voulais faire de la danse mon métier. Lorsque le jour de mes 18 ans arriva, je ne pris pas la peine de dire au revoir à mes parents, un mot suffisait. Si j'étais contrainte à partir, c'était en partie de leur faute. En revanche, il me fut bien plus difficile de quitter mes frères et sœurs, en particulier Alonzo. Je ne savais pas dans quoi je me lançais ni où j'allais exactement mais le simple fait de savoir qu'une nouvelle vie s'offrait à moi m'excitait. J'avais suffisamment d'économie pour me payer un billet d'avion pour les Etats-Unis. Le rêve américain s'offrait à moi. Je savais que là-bas je pourrais être celle que je voulais. Pour commencer, j'avais choisi d'aller en Virginie. Je ne me voyais pas, sortant de ma petite ville d'Espagne, aller directement à New York ou Los Angeles. Pourquoi la Virginie? Eh bien parce que le billet d'avion n'était pas trop cher. Je ne connaissais absolument pas la ville où je débarquais. Williamsburg ne me disais rien du tout. Mais qu'importe, j'allais la connaître! J'eus beaucoup de chance car quelques jours à peine après mon arrivée, une nouvelle discothèque ouvrait et cherchait des danseuses. Avec mon niveau je fus immédiatement prise. Pendant plusieurs années, j'exerçai ce métier. Je n'avais que très peu de nouvelle de ma famille. Seul Alonzo est venu me voir, il est d'ailleurs resté ici. Notre relation était au beau fixe. Il savait que je dansais tous les soirs dans une boîte de nuit mais cela ne semblait pas le déranger plus que ça. Oui mais voilà, il y a six mois de cela, une boîte de strip-tease ouvrit ses portes. Pour moi qui aimait être regardée, désirée, enviée, c'était l'endroit idéal. Je parvîns à me faire embaucher, à mon plus grand bonheur. J'adore ça. Je trouve que je fais là un très beau métier. Contrairement aux idées reçues, ce n'est pas vulgaire! C'est sensuel et plein de volupté. Me déshabiller devant une salle entière d'homme m'a permis d'acquérir une plus grande confiance en moi. Mais cela n'est pas du tout du goût de mon frère qui s'est beaucoup éloigné de moi depuis qu'il est au courant. Je lui ai pourtant fait comprendre qu'à mon âge j'avais le droit de mener ma vie comme je l'entendais. De plus, je n'ai jamais été aussi épanouie! Je suis bien dans ma peau, j'ai confiance en moi... Bref, n'importe quelle fille rêve d'atteindre un tel degré de bien-être. Alonzo ne comprend pas tout cela. C'est regrettable parce que ce n'est pas à moi qu'il fait du mal, c'est à lui-même. Je ne changerai pour rien au monde ma vie actuelle, tant pis si cela implique un éloignement entre nous. |
LE KARTEL, TOUTE MA VIE OU JUSTE L'INCONNU; Le Kartel... Bien sûr que j'en ai entendu parler. Je sais plus ou moins ce qu'il s'y passe... Je pense que tant qu'on n'y est pas directement impliqué, on ne peut pas se rendre compte. Il y a quelques années de ça, j'aurai probablement pensé que ces filles n'étaient rien d'autre que des trainées. Mais aujourd'hui, je les plains. Je me dis qu'elles n'ont pas eu ma chance. Moi j'ai un métier et une vie qui me plaisent. Cependant, je ne me préoccupe pas vraiment de leur condition. Après tout, je ne peux pas aider toutes les personnes en détresse. Et puis, que pourrais-je faire? Non, vraiment, je ne vais pas mettre mon nez dans leurs affaires. Tant que le Kartel ne m'empêche pas de vivre ma vie, ils peuvent bien faire ce qu'ils veulent. |
ET TOI DERRIERE TON ECRAN D'ORDINATEUR; ■ prénom/pseudo; Amélie mais vous avez le droit de m'appeler mély ;D ■ âge; 16 ans mais dans quelques jours je prends un printemps de plus! =) ■ avatar utilisé; La sublime Ana Beatriz Barros ■ où as-tu découvert le forum; Ca c'est grâce à Neal ou Carl, c'est comme vous voulez =p ■ comment le trouves-tu; Comment dire? Juste merveilleux, sublime et euh... méga trop génial! ■ autres; VIVE KARTEL !!!! ■ code du règlement; Okay by moi-même^^! ;D
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A d m i n & flic
Jake Taylor
. Messages : 582 . Date d'inscription : 06/03/2010
| Sujet: Re: Francesca Escudero ▬ Qu'est la volupté elle même, sinon un moment d'attention passionnée au corps ? Dim 26 Déc - 7:06 | |
| Hey heu! je savais pas que tu avais terminé! J'adore ta façon d'écrire miss ^^ et ton personnage est sublime, j'ai bien hâte d'avoir un sujet avec toi (: |
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Francesca Escudero
. Messages : 159 . Date d'inscription : 20/12/2010 . Age : 30 . Pseudo : mély
| Sujet: Re: Francesca Escudero ▬ Qu'est la volupté elle même, sinon un moment d'attention passionnée au corps ? Lun 27 Déc - 11:33 | |
| Neal ! =) Merci beaucoup, c'est très gentil à toi ! Pour le lien, c'est avec GRAND plaisir mais il faudra qu'on voit si tu le préfère avec Neal, Carl ou les deux. ^^ |
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Cassidy Standford
. Messages : 28 . Date d'inscription : 21/12/2010 . Age : 32 . Pseudo : JennBidou
| Sujet: Re: Francesca Escudero ▬ Qu'est la volupté elle même, sinon un moment d'attention passionnée au corps ? Lun 27 Déc - 13:11 | |
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Francesca Escudero
. Messages : 159 . Date d'inscription : 20/12/2010 . Age : 30 . Pseudo : mély
| Sujet: Re: Francesca Escudero ▬ Qu'est la volupté elle même, sinon un moment d'attention passionnée au corps ? Lun 27 Déc - 13:38 | |
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| Sujet: Re: Francesca Escudero ▬ Qu'est la volupté elle même, sinon un moment d'attention passionnée au corps ? | |
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